Patrice Kopp

cristallier Depuis plus de 20 ans

Originaire de Rouen, j’ai rejoint la Tarentaise à l’âge de 11 ans où j’y ai trouvé très tôt un double ancrage : celui de la neige, avec une carrière de moniteur de ski de 45 ans aux Arcs, et celui de la roche, une passion discrète mais tenace pour les cristaux. Après le Covid, j’ai mis fin à ma carrière de moniteur. C’était le moment ou jamais de me consacrer entièrement à ce qui m’appelle depuis longtemps : les pierres. Depuis 17 ans, je tiens une boutique à Arc 1800, Cristal-Passion, où j’expose mes trésors géologiques, collectés au fil de mes expéditions.

À 73 ans, je continue de grimper, parfois jusqu’à 3000m d’altitude, pour extraire des pierres des gisements oubliés. Il y a une vingtaine d’années, alors que je descendais le sac chargé de pierres, la roche s’est ouverte sous mes pieds. Un accident dont je me remets très vite. Je suis reparti en expédition, comme si de rien n’était. Les médecins n’ont pas compris. J’en suis convaincu : cette énergie, je la dois aux cristaux que je transporte dans mon sac.
 

Une histoire de fréquences

Je me suis lancé dans mes propres recherches sur les interactions entre cristaux et corps humain, un phénomène réfuté par les scientifiques mais qui fait couler beaucoup d’encre. Au fil de mes recherches, j’ai mis au point une méthode pour mesurer ces interactions. Je mesure les fréquences des différentes parties du corps, , je propose la pierre qui, selon moi, peut réharmoniser les déséquilibres éventuels. Une approche de radiesthésie : cette pratique reposant sur l’intuition et le ressenti des ondes. 

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